Photo-Déclic

Durs les devoirs d'école...

C'est sur les bords du Tage que se dresse l'imposant Monument des découvertes, le 'Padrao dos Descobrimentos'.
Inauguré en 1960 pour le 500e anniversaire de la mort d'Henri le Navigateur, ce monument de 50 mètres de haut est un hommage aux explorateurs et aux personnalités de l'époque des grandes découvertes. Très cher aux Lisboètes, il rappelle les grandes expéditions portugaises et le rôle important que joua le pays dans la l'exploration de ces terres inconnues.
Le bâtiment représente une caravelle stylisée prête à prendre le large. Henri le navigateur est debout sur la proue du navire. A ses côtés, 33 personnalités de l'époque lui tiennent compagnie. Navigateurs, scientifiques, mécènes, poètes, tous ont joué leur rôle dans les grandes découvertes et ont désormais leur place sur cette étrange embarcation. Ainsi, on peut reconnaître Alfonso V, mécène, Vasco de Gama, Pedro Alvares, qui découvrit le Brésil, Magellan, Luis Vaz de Camoes, poète, etc. Ce drôle de monument recouvert de pierre rose de Leiria arbore également une immense rose des vents de cinquante mètres de large. Au centre de cette mosaïque de marbre repose une carte du monde sur laquelle se dessinent les itinéraires empruntés par ces explorateurs téméraires durant le XVe et XVe siècles.
A l'intérieur, se trouve un auditorium dans lequel on peut assister à la projection d'un film sur l'histoire de Lisbonne et du Portugal, ainsi que la chambre de la ville de Lisbonne qui conte aux visiteurs le temps des découvertes à travers des sculptures et d'autres éléments appartenant à cette fameuse époque.

L'élévateur Santa Justa, étrange construction métallique néogothique, contruite par Raoul Mesnier du Ponsard, disciple de Gustave Eiffel. En quelques secondes, l'ascenseur grimpe jusqu'à la Praça do Carmo. Il a été mis en marche pour la première fois en 1902. Un escalier en colimaçon conduit à une terrasse et offre une vue sur l'Igreja do Carmo et le tracé en damier de la Baixa.

L'église du Carmo : construite entre 1389 et 1423 en pleine époque médiévale.
Lisbonne fût ravagée par un séisme le 1er novembre 1755 d'une magnitude estimée entre 8,5 et 9 sur l'échelle de Richter, ce qui détruisit en partie l'église.
A son coté, l'ancien couvent est désormais une caserne. Au XIXe siècle, il fut décidé d'abandonner toute reconstruction et de la conserver en l'état.

Inscrit au patrimoine mondial de l'humanité, Shirakawa-gō est célèbre pour ses maisons typiques dans lesquelles étaient cultivés les vers à soie. Ce style architectural appelé Gasshō-zukuri (en japonais, 合掌造り, construction aux paumes des mains jointes) désigne les maisons au toit très pentu afin de supporter les chutes de neige très abondantes de cette région montagneuse.

À l'intérieur des maisons, les vers à soie étaient élevés à l'étage qui était chauffé par des foyers placés au rez-de-chaussée. La chaleur permettait également de conserver le chaume au sec. Cette toiture spécifique demande un peu d'acrobatie pour changer sa paille, et des poutres sortant du faîte permettent aux artisans de s'accrocher pendant qu'il travaillent sur le toit.

Il était un petit Tom, Pirouette, cacahuette...

Rouge comme une pivoine dit-on ...